Pour dissoudre kystes, fibromes et tumeurs… la formule « miracle »
… la Bromélaïne Gamma (2500GDU)
écrit par le Dr Michel Dogna
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Historique de mes découvertes
Depuis 1973, je connaissais et préconisais avec succès pour les cancers un produit allemand, le « Carzodélan » qui était un extrait protéolytique de pancréas injectable par voie intramusculaire. J’avais découvert ce merveilleux remède dans le tome 1 de « Tous les espoirs de guérir » de Jean Palaiseul, paru en 1970 aux éditions Robert Laffont. Ce produit inconnu des médecins « lamda » – qui a sauvé clandestinement de nombreux cancéreux pendant quelques décennies – m’a personnellement permis d’effectuer de nombreux « exercices illégaux de la guérison » (sic Sylvie Simon), dont deux dans ma propre famille.
Et puis ce qui devait arriver arriva, le petit labo fournisseur s’est vu subitement invectivé par les instances pharmaceutiques de déposer une AMM (autorisation de mise sur le marché). Cette procédure trop lourde en moyens et en argent pour ce modeste labo – et qui arrivait en outre trop tard, – car la preuve d’innocuités était faite depuis longtemps, avait pour but de bloquer au moins pour 10 ans la fabrication.
C’était donc une mise à mort déguisée de la dangereuse concurrence du Carzodélan face à la médiocrité de la chimio officielle… et tant pis pour les malades !
Suite à cela, un ami médecin et (bon) cancérologue, le Dr L.G., que je ne nomme pas ici vu les ennuis qu’il a déjà essuyés (comme tous les bons !), et à qui je parlais du scandale du Carzodélan, me dit : « Pourquoi t’embêtes-tu avec ces piqûres (non remboursées), alors qu’il existe en pharmacie l’Extranase, qui est une phyto-enzyme protéolytique aussi, mais par voie orale, moins chère et même remboursée (bien sûr, sur ordonnance) ? »
Derechef, je me mis donc en devoir de parler de l’Extranase sur le journal de l’époque Vérités Santé Pratique dont j’étais rédac chef. Hélas, le premier retour que j’ai eu, a été une lettre d’une abonnée pas contente, car allergique à l’ananas : elle avait eu des réactions très violentes. J’ai conclu que c’était une piste minée et j’ai laissé tomber.
Le temps passa, et un jour, je reçus un coup de téléphone d’un certain Monsieur Pierre L. de Bretagne, qui me dit : « Monsieur Dogna, grâce à vous, je fais de véritables miracles », (étonnement)… il poursuivit :
« Il y a un an, je suis tombé sur un de vos journaux qui parlait de l’Extranase et voilà ce qui est arrivé : Christelle, une petite cousine est venue passer quelques jours chez nous. Elle avait un gros chagrin car sa petite chatte allait être opérée de 2 tumeurs cancéreuses, une moyenne et une très grosse. Je lui dis d’appeler sa maman, de lui demander d’acheter une boîte d’Extranase à la pharmacie, ainsi que de calculer la dose à donner en fonction du poids de la chatte, sachant que pour un homme la posologie était officiellement de 3 comprimés 3 fois par jour. La maman ne se cassa pas la tête : elle acheta l’Extranase sans trop y croire et donna 3 comprimés à la chatte. C’était 24 heures avant l’opération. Rosie avait en fait ingurgité 10 fois la dose en rapport avec son poids. A l’opération, le lendemain, il apparut que la tumeur moyenne avait complètement disparu et que dans la grosse tumeur, il n’y avait plus que de l’eau. Depuis Rosie est en très bonne santé. »
Autre cas étonnant : le vieux chien des voisins
« La pauvre bête avait une tumeur de 7 cm d’épaisseur et ses maîtres ne voulaient pas le soigner vu son âge. Monsieur Pierre parvint à les convaincre de lui donner de l’Extranase ainsi qu’indiqué plus haut. Dix jours après, les grosseurs avaient totalement disparu. Le chien mordillait la peau détendue et il en sortait de l’eau. Depuis, aucune trace de tumeur n’est réapparue. »
Une astucieuse déduction
Suite à ces expériences, Monsieur Pierre L. en vint à penser que si l’Extranase n’avait pas habituellement d’effets plus déterminants sur le cancer, c’est qu’il était très sous-dosé.
Il en est de même par exemple pour la vitamine C qui a été limitée à quelques 400 mg par jour, alors que l’on peut monter à 5-6 g avec la vitamine C naturelle, et à 50 g par jour avec la vitamine C de synthèse mélangée à de la lysine.
A cette époque nous avons donc calculé que la dose d’attaque d’Extranase pouvait être sans risque (sauf allergie connue) de 1 comprimé par kilo, qu’il s’agisse d’un humain ou d’un animal. Cette dose était appliquée environ une semaine, mais, il fallait quelquefois continuer plusieurs jours à demi-dose (soit 1 comprimé pour 2 kg) le temps nécessaire pour que la tumeur disparaisse complètement, cancéreuse ou non.
A noter que des études effectuées sur des rats ont montré qu’il fallait atteindre 5g par kg pour que les reins donnent des signes de fatigue, ce qui représente, pour un humain de 60 kg, 300 g de bromélaïne.
L’organisation-défense des cellules cancérisées
Parmi les globules blancs, il existe une sorte de leucocytes tueurs nommés les NK (Natural Killers) qui ont pour mission d’injecter dans les cellules cancéreuses une substance toxique mortelle : la tumostérone – un dérivé de la vitamine D2. Afin de se protéger de ces attaques, les cellules cancéreuses s’entourent d’une substance mucoïde spéciale. Pour pouvoir rendre l’accès libre aux NK, il faut d’abord dissoudre ce mucus. C’est justement ce qu’est capable d’effectuer la bromélaïne de l’Extranase. Le résultat est tellement rapide lorsque les doses sont suffisantes, que l’on peut penser à un miracle.
Attention aux produits laitiers ! Ils contrarient l’effet de la bromélaïne pour deux raisons : ils renforcent la couche mucoïde des cellules cancéreuses et ils contiennent des hormones de croissance cellulaire rapide (le lait est fait pour les bébés qui doivent grandir vite).
NOTA : Lorsque l’on parle de produits laitiers, il s’agit de tous les produits laitiers sans exception, y compris tout aliment confectionné avec l’un quelconque des dérivés de laitages (et ce n’est pas facile d’y échapper). A savoir que 95% des desserts sont à base de produits laitiers.
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L’évolution galénique de la Bromélaïne
Au départ, la bromélaïne est une enzyme active aussi nommée bromélase, que l’on tire de la tige d’ananas. Le fruit en contient aussi en quantité mais elle est surtout logée dans le coeur et la peau du fruit. Bien évidemment, j’ai parlé de ses applications dans mes journaux, en particulier dans les n° 27, 38 et 41 du « Journal de Michel Dogna » ; et nombreux sont ceux qui ont tenté leur chance avec ce remède qui semblait néanmoins avoir des limites car il ne marchait pas sur tout le monde.
Une chose un peu dérangeante est que l’Extranase contient du dioxyde de titane nanométrique qui est connu pour sa toxicité. Par ailleurs, nous avons appris que ces comprimés – qui sont officiellement prévus pour les œdèmes post opératoires et qui étaient en vente libre – ont été récemment réglementés et vendus sur ordonnance. Bizarre ! Qu’importe !… la bromélaïne se trouve facilement.
Et puis est tombée l’information que la bromélaïne présente une efficacité décuplée lorsqu’elle est associée à une dose journalière maximum de vitamine C naturelle couramment supportée, qui est de 5 à 6 grammes. Evidemment la vitamine C liposomale est encore beaucoup mieux puisque 5 g de liposomale équivalent à 50 g de vitamine naturelle.
C’est pour cela que je l’avais présentée sous cette formule combinée dans mon e-book « CANCERS guérir hors protocoles », sachant que la dose journalière classique de bromélaïne est de 1000 mg. Mais il s’avère que ce n’était pas encore suffisant pour atteindre des pourcentages de réussite vraiment attractifs.
Finalement, nous avons abandonné la formule GR (gastro résistante) de la bromélaïne suite à deux infos techniques :
– l’une disant que la bromélaïne purifiée n’est guère attaquée par les sucs gastriques, – l’autre faisant valoir une certaine toxicité du vernis de protection des gélules.
D’où la formule « Gamma », la différenciant par la grande qualité de la bromélase utilisée, ce qui lui confère la plus haute activité enzymatique.
Un témoignage qui décoiffe
Une personne atteinte de deux tumeurs inopérables – entre la colonne vertébrale et l’œsophage – a pris jusqu’à 30 gélules de bromélaïne par jour pendant plusieurs semaines, cela couplé à 5 g de vitamine C liposomale. Les deux tumeurs ont complètement disparu.
Commentaire : il apparaît qu’à moins que d’être allergique à la bromélaïne, nous avons une seconde fois manqué de hardiesse à oser augmenter les dosages vu qu’il ne s’agit pas d’un médicament chimique mais d’un alicament – 30 gélules de 500 mg représentent en fait 15 g, ce qui est encore très loin des 300 g évoqués plus haut.
Applications directe à tester (sans risque) Selon la posologie plus haut (rappel : attention aux allergiques) :
BROMELAÏNE GAMMA : 10 gélules matin midi et soir + VITAMINE C LIPOSOMALE : 1 sachet aux 3 repas
Pour :
1 – Kystes – fibromes. 2 – Cancers : de la prostate – du col de l’utérus – du cerveau – de la sphère ORL – lymphome – métastases…
¤ NOTA : danger concernant le cartilage de requin Il est connu que les cellules cancéreuses sont des cellules déprogrammées et réinitialisées à l’état de cellules embryonnaires à reproduction rapide. Elles ont donc besoin d’un réseau capillaire important pour acheminer les « vivres ». Cela s’appelle des formations angiogéniques. Les chercheurs, en fins stratèges, ont cherché des moyens pour justement couper ces ponts spéciaux de ravitaillement en introduisant des substances anti-angiogéniques qui les dessèchent en quelque sorte. C’est exactement ce que fait le cartilage de requin, mais aussi ce que visent certaines « chimios » dans la composition de leurs cocktails. Le problème dramatique est que, une fois ces angiomes tumoraux desséchés, il n’y a plus de voie d’accès pour agir sur les cellules cancéreuses.
Pour cette raison, hélas, la thérapie par la Bromélaïne risque fort d’aboutir sur un échec si l’on n’attend pas 8 semaines après une prise de cartilage de requin ou d’une chimio anti-angiogénique. Encore faut-il avoir le temps d’attendre dans la course contre la maladie.
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